In an epic episode Marcus Cribb & Luke Daly Groves join me to discuss the opposing perspectives on the emperor, his impact, and how he's remembered. They also show the trolls that Napoleon can be discussed without getting angry, while explaining why Napoleon is like ordering a takeaway! https://anchor.fm/the-napoleonicist/episodes/Napoleon-the-Great-Debate-emg20o
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Thank you Marcus, I’ll look forward to following it. What it does reveal is that we are prepared to get exited over a head of state in power for less than two decades, who ended in failure yet had a charisma powerful enough to sustain a legend still.
Here is an idea that suggesting it got me booted off another forum, presumably for offending hero worshiper's sensibilities. To test whether your adherence is emotional bias rather than logical or merely preferential, are you capable of writing a short piece extolling the opposite view? If as a Napoleon admirer you are capable of sustaining and validating some criticisms? By the same token, if you want to sustain a Corsican Ogre view, could you make a case for some redeeming factors? If you find you cannot bring yourself to do either, it suggests you are emotionally invested rather than quite as rational as you think you are.
DS at Staff College used that one, and I think it comes from the rhetoical tradition, Someone with a better classsical or philosophical education than I might be able to assist. If I recall, I think there is/was a Radio 4 series that used this device. What I find strange is that such an elementary debating tool was regarded as trolling (or presumably heresy?). At least Elvis fans are honest enough to admit they are fans as they file past The King's tomb at Graceland. They don't try to persuade you that they only go there for the gift shop, like one devotee tried to describe his pilgrimage to Les Invalides!
another good point of discussion, the greatest military conqueror since Julius Caesar.
Nobody, not even me denies that the did wage very successful campaigns and was a master of the operational art of war, but great soldier? For a while yes, but for the hero worship fan boys his severe blunders are ignored, Egypt - a disastrous campaign - especially Syria, he then did not learn anything from the sufferings of his army in the winter campaign of Poland 1806/07 - where the halcyon victories of 1805/06 are gone forever, it is ignored, and ignored is his never coming to grips with Spain, then the Russian campaign of 1812 - is this the result of a great military commander, then he let's slip 1813 by not coming up with a strategy as all, his army is marched to death by exhaustion in the autumn campaign, in 1814 - useless victories and again not idea of strategy and 1815 an abysmal failure, this is all ignored by the shine of his victories - so great military commander - yes and no.
so he had a popular legitimacy? And for that reason he was better than any other monarchs in Europe? 18e brumarie was his legitimacy.
It is typical of dictators to hold elections to create a legitimacy of shine.
Mr. Gorves just claims that Nabulieone's ruling was better in comparison to other rulers in Europe, on what does he bases his knowledge, what does he know about the rulers of let's say Bavaria, or Saxony, or even Prussia, what was their amount of death sentences against Nabulieone's?
One of my greatest criticism of Nabulieone's worship is the Boney centered only approach without even trying to study in the same depth other nations in Europe as well.
Bial Bientôt les chefs de corps reçurent l’ordre de faire voter chaque officier par un oui ou un non pour élever Napoléon au rang suprême d’Empereur des Français. L’esprit de l’armée était encore imprégné de républicanisme et seul l’amour de la gloire et de dal liberté animait et stimulait les soldats. Jusqu-là, il n’avait été question ni de croix, ni de rubans, et pourtant on se battait bravement. Aussi, le système monarchique ne fut pas accueilli avec faveur par tout le monde, les ambitieux croyaient y trouver plus d’avantages. D’autres, plus désintéressés, voyaient avec peine ce changement où la Patrie n’avait rien à gagner. D’autres craignaient pour leur situation. Quelle cruelle alternative pour nous, officiers et rien qu’officiers, c’est-à-dire serviteurs de la France avant tout ! Nous fûmes donc convoqués pour exprimer notre vote. On était silencieux, on s’observait pour deviner les intentions de chacun, tous jouaient leur avenir. Lecture fut donnée de sénatus-consulte, puis on nous présenta un registre pour inscrire les votes. Deux officiers seulement refusèrent de signer : un lieutenant de l’ancien régime et un jeune sous-lieutenant sorti de l’Ecole. Quelques jours après, ces officiers reçurent l’ordre de quitter le régiment pour rentrer dans leur foyers. Si on avait scruter les consciences, combien en aurait-on trouvé qui partageaient leur manière de voir ! Mais on se soumit, soit par intérêt, soit par nécessité. Je puis avouer qu’à ce moment-là, si j’avais eu tout autre position de fortune, je n’aurais probablement pas signé. Néanmoins, si la République devait disparaître, nul n’était, à ce moment-là, plus capable ni plus digne de la remplacer. P. 172 / 173 Les Carnets du Colonel Bial 1789 – 1814. re – print, Paris 2003 La transformation des sabres et des fusils d’honneur en simple crois ne fut pas du goût des nos vieux républicains. Ils s’écriraient « Une boite de rubans que signifie – t- elle ? Un ruban peut se gagner dans les antichambres, tandis qu’un sabre ne peut se mériter que sur les champs de bataille. » C’était en effet une belle institution que celles des sabres et des fusils d’honneur : une action d’éclat pouvait seule les obtenir. P 24 (52) Souvenirs d’Octave Lavasseur C'était devant eux que j'avais à lire la célèbre proclamation. Bonaparte, on le sait, s'y comparaità Charlemagne, et le Premier Consul, par une précaution oratoire encore nécessaire, s'y disait l'Empereur de la République. Je me rendis sur le front de chaque camp avec tout l'appareil que comportait la solennité d'un pareil acte et je lus d'une voix émue. Un morne silence régnait d'abord; puis des officiers et soldats sortaient des rangs : « Nous nous sommes engagés volontairement, disaient-ils, pour détruire la royauté et la tyrannie!. Depuis quinze ans, nous combattons au nom de la liberté. Aujourd'hui que signifie l'Empereur? C'est un nouveau tyran. Puisqu'on veut rétablir la tyrannie, tous nos travaux sont perdus. » A ces mots, ils remettaient leur sabre dans leur fourreau et s'éloignaient du camp. L'ordre était donné d'envoyer leur congé à ceux qui n'accepteraient pas le gouvernement nouveau; mais nos vieux républicains ne purent longtemps résister à l'ivresse générale: ils reprirent presque tous du service. Une dernière douleur leur était réservée à Boulogne P. 23 (51) UN OFFICIER D'ÉTAT-MAJOR SOUS LE IerEMPIRE SOUVENIRS MILITAIRES D'OCTAVE LEVAVASSEUR OFFICIER D'ARTILLERIE AIDE DE CAMP DU MARÉCHALNEY (1802-1815) PUBLIÉS PAR LE COMMANDANT BESLAY SONARR1ÈfiE- PET 1T- FII.S PARIS LIBRAIRIE PLON PLON-NOURRIT ETC", IMPRIMEURS-ÉDITEURS 8, RUEGARANCIÈRE— 6e 1914 Je n’ai jamais eu de sympathie pour les traîtres ; les clameurs et les mensonges du Maréchal Ney m’indignèrent. Je vis ma patrie perdue irrémédiablement par la criminelle ambition de Napoléon, je résolus de ne pas m’y associer. » Vigo – Roussilon : Campagne 1793 – 1837 Grenadier de l’Empire, Chaintreaux 2013, p. 316
Difficult to listen to hero worship at its worst, he wasn't an able administrator at all in Egypt, he left it in a mess, read what Kleber writes about it who as left dumped in it, in Italy, during the first Italian campaign, brutally suppressing revolts, showing his hide.
Ah yes Nabulieone's view of women was quite usual and popular at his time, yes, my point, he wasn't a genius he was just another petty noble holding total power, intelligent - yes, hard worker - yes, brave on the battle field yes - but a genius - no - with the exception in propaganda.
And yes it is not the Code Nabulieone.